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Vous vous souvenez de cet article d’antoine ?
Et bien maintenant ces mêmes loustics nous rackettent grâce à la loi, et moi ça me rend chiffon
Pourquoi Libroscope a existé, et pourquoi sa démarche doit être continuée d’une manière ou d’une autre, quels que soient les instigateurs.
Du 14 juillet au 16 août 2010, l’hyper médiatique présidence française a publié la vitrine du pays : un site Web à l’image du cliché de la France à l’étranger : « en grève ».
Dans Challenges, Laurent Calixte publie jeudi 29 juillet 2010 une attaque anti-logiciel libre. Cet article est intéressant ; il nous donne suffisamment d’informations pour que l’on puisse comprendre comment cela a pu arriver.
Vous voulez utiliser du logiciel libre, devenir professionnel dans ce dernier, contribuer, sécuriser vos infrastructures...
Et vous pensez que le logiciel libre est la solution ? Peut-être vous laissez-vous influencer par la mythologie. Une piqûre de rappel de réalité pourrait peut-être aider.
Je vais parfois dans un pub à côté de chez moi qui passe des concerts. Hier j’y
vais, et je discute avec le tenancier et les musiciens et m’aperçois que la
musique sous droit d’auteur classique [1] empêche simplement tout le monde de
vivre de la musique.
Comment est on arrivé là ? Trop de complexité tue la musique, mais des
solutions sont possibles, à condition de parier sur de la musique vraiment
libre.
Il m’est arrivé récemment de travailler dans l’urgence à 6 mains sur les mêmes fichiers ce qui est habituellement un enfer ; sauf si on prend le temps d’expliquer à ses comparses l’existence et le fonctionnement d’un logiciel de gestion de versions (un logiciel libre en l’occurrence). Ce qui a suscité l’intérêt de l’un d’eux qui a adopté l’utilisation de ce logiciel.
Et savez-vous quel fut mon plaisir ? Non qu’un logiciel libre soit utilisé, mais d’avoir aidé des gens à se faciliter la vie. J’ai ainsi retrouvé ma motivation première à faire du logiciel libre : être utile aux gens, les libérer.
J’ai laissé parler ma culture, celle du logiciel libre. Et comme toute les cultures, elle ne s’impose pas, elle se partage. Ce que semble avoir oublié une partie de la communauté du Libre.